Consommer une grande quantité d’ALA aide à prévenir les risques de maladie cardio-vasculaire.

 

Des études montrent que ce type de mesure agit plus rapidement qu’un traitement médical à base d’hypolipémiants dont le but est de réduire les lipides présents dans le sang. Les résultats sont probants au bout de 2 mois seulement, ce qui est très encourageant !

 

Cela repose en partie sur le pouvoir des huiles omega-3 (celle de colza étant plus performante en la matière que celle de poisson) de corriger les arythmies cardiaques et de limiter la thrombose responsable de la formation de dangereux caillots dans les artères. Le rythme du pouls s’en trouve aussi régularisé.

 

De plus, on sait qu’un déficit en ALA dans l’organisme favorise les accidents vasculaires cérébraux. Les attaques cérébrales touchent plus d’un million de personnes chaque année dans l’Union européenne. Elles constituent la deuxième cause mondiale de mortalité après les maladies cardio-vasculaires.

 

Bien nourri en ALA, le corps entretient mieux ses vaisseaux sanguins. Les artères sont plus souples, plus élastiques, et donc moins cassantes, éloignant ainsi le spectre des ruptures d’anévrisme notamment.

 

« 110 000 personnes font un infarctus du myocarde en France, chaque année ! »

 


> La famille des Oméga-3

• ALA = Acide alpha-linolénique (légumes à feuilles vertes, huile et graines de lin, de colza et de noix) qui dans l’organisme est converti successivement en :
• EPA = Acide eicosapentaénoïque (huiles de poisson)
• DHA = Acide docosahexaénoïque (huiles de poisson)
• Eicosanoïdes omega-3

 


> Agir pour son cœur

De toute évidence, le vieux schéma médical qui vantait les mérites des omega-6 pour limiter les cholestérol est ébranlé par les récentes découvertes. Les margarines et autres huiles de tournesol n’ont aucun effet positif sur la santé des vos artères ! Au contraire ! Sur la liste des comportements qui augmentent la production de cholestérol sanguin transporté par les HDL, on peut citer :
• La carence en omega-3 de notre alimentation
• Sa pauvreté en fibres,
• La consommation abusive de graisses saturées.

Le sport augmente les performances cognitives en permettant une meilleure irrigation du cerveau.

 


> Maladies du cœur : Les populations à risque

• Les personnes qui se nourrissent essentiellement de snacks gras et sucrés.
• Les hyper sédentaires qui ne pratiquent aucun sport et ont peu d’activité physique
• Les consommateurs excessifs d’alcool
• Les obèses et tous ceux qui souffrent de surcharge pondérale
• Les sujets à l’hypertension
• Les diabétiques
• Les fumeurs…